3 février 2024
Assemblée générale annuelle
Présents (30) : Marie-Hélène Blanchet, René Bondoux, Béatrice Caseau, Pierre Charrey, Jean-Claude Cheynet, Marie-Hélène Congourdeau, Muriel Debié, Olivier Delouis, Vincent Déroche, Jannic Durand, Maximilien Durand, Thierry Ganchou, Jean-Pierre Grélois, Catherine Jolivet-Lévy, Michel Kaplan, Elisabeth Malamut, Andreas Nicolaïdès, Catherine Otten, Arietta Papaconstantinou, Stéphanos Petalas, Annick Peters-Custot, Dominique Pieri, Brigitte Pitarakis, Dubravka Preradovic, Vincent Puech, Georges Sidéris, Alessio Sopracasa, Sipana Tchakerian, Liliana Yordanova, Constantin Zuckerman.
Représentés à jour de leur cotisation : Marie-France Auzépy, Michel Balard, Matthieu Cassin, Alexis Chryssostalis, Marie Cronier, Nicolas Drocourt, Dorotea Giovannoni, Carole Hofstetter, Vassa Kontouma, Anna Lampadaridi, Delphine Lauritzen, Sophie Métivier, Geoffrey Meyer-Fernandez, Brigitte Mondrain, Dominic Moreau, Cécile Morrisson, Ioanna Rapti, Filippo Ronconi, Guillaume Saint-Guillain, Giovanni Stranieri, Florence Sampsonis, Jean-Michel Spieser, Mareva U, Catherine Vanderheyde.
Nous ayant rejoints après leur élection comme nouvaux membres du CFEB : Benoît Cantet, Anne-Marie Cheny, Bastien Dumont, Romain Goudjil, Marc Verdure, Jean Schneider
La séance est ouverte à 10h15 en salle « Gaston Paris » de l’École Pratique des Hautes Études à Paris. Annick Peters-Custot se réjouit de diriger pour la première fois cette Assemblée générale en tant que Présidente du CFEB, dans une salle de l’EPHE marquée par l’histoire de nombreux séminaires byzantins qui la rendent à beaucoup d’entre nous familière. Notre Présidente remercie tout particulièrement Vassa Kountouma, de l’EPHE, qui nous a permis d’être accueillis en ce jour en Sorbonne, Vincent Déroche pour la préparation du pot amical qui suivra, Jannic Durand pour les desserts, le Secrétaire pour son aide logistique, la Trésorière pour son aide dans l’organisation de l’Assemblée générale, en l’occurrence la perception des cotisations.
1. Approbation du procès-verbal de l’Assemblée générale du 11 février 2023
On sollicite de l’Assemblée, comme il est d’usage, qu’elle approuve le procès-verbal de notre réunion du 11 février 2023 accessible sur le site du CFEB et joint à nouveau à la convocation pour la présente réunion. Le procès-verbalest accepté à l’unanimité.
2. Rapport moral de la Présidente
Ce rapport est court car nous sommes dans une période traditionnellement « en creux » contrairement à l’année passée, où l’Assemblée générale avait fait le bilan du Congrès de Venise (2022) et avait procédé au changement de Bureau et à l’an prochain, où nous pourrons discuter du programme du Congrès, dont l’élaboration aura avancé. Par ailleurs, un certain nombre de points qui pourraient prendre leur place dans le rapport moral seront discutés de manière plus approfondie au fil de notre Assemblée générale, et ne seront donc introduits que brièvement.
La Présidente commence par remercier chaleureusement les membres du Bureau de notre Comité qui, malgré l’éparpillement géographique, ont travaillé collectivement avec un grand sens de l’engagement, nécessaire ne serait-ce que pour affronter la bureaucratie, tant préfectorale que bancaire, qui est le lot des changements de Bureau dans les Associations loi 1901.
Avant d’évoquer les activités de l’année passée, il est d’usage de convoquer la mémoire des collègues disparus. Notre Comité a été, depuis notre dernière Assemblée générale du 11 février 2023, heureusement épargné. Ses membres certes, mais pas leurs proches, et notre communauté manquerait à ses devoirs si elle n’avait une pensée pour le mari de Cécile Morrisson ou celui de Marie-Hélène Congourdeau.
Ce sont surtout les noms des collègues étrangers qui ont pu compter pour notre société savante et ses membres dont on invoque la mémoire : Michiel Op de Coul, décédé prématurément en mai 2022, dont nous avions manqué d’évoquer la mémoire l’an passé, qui préparait la publication d’un livre issue de sa thèse menée sous la direction de Bernard Flusin sur les lettres et discours de Théodore Prodrome, dont Marc Lauxtermann assure actuellement la publication posthume à Oxford ; Robert Ousterhout, 23 avril 2023 ; Elizabeth Jeffreys, 12 septembre 2023 ; Joseph Munitiz, SJ, figure discrète, chère à plusieurs membres du CFEB, décédé le 16 juillet 2022 ; Sonja Schönhauer, brutalement disparue le 11 octobre 2023 à l’âge de 56 ans. Plusieurs de nos membres ont souhaité que l’on rappelle la mémoire d’Olivier Picard, ancien directeur de l’École française d’Athènes de 1981-1992, ancien professeur à Sorbonne Université et membre de l’AIBL, qui nous a quittés à Thasos en Grèce le 1er septembre 2023. Il fit toujours le meilleur accueil à nos études byzantines et permit de faire vivre une tradition byzantine à l’EfA qui ne s’est pas depuis démentie. Une minute de silence est observée.
La Présidente informe ensuite les membres de l’Assemblée de l’étroite et heureuse association entre le département des arts de Byzance et des chrétientés en Orient du Musée du Louvre et notre Comité, ses membres et le milieu des byzantinistes français au sens large. Maximilien Durand, son directeur, a demandé à Annick Peters-Custot de siéger comme personnalité extérieure à la commission des acquisitions du Louvre au titre de ce département. Cette invitation confirme l’étroitesse des rapports entre les byzantinistes français et le département, que reflète aussi la présence de certains de nos membres dans le conseil scientifique du Louvre.
À ce titre, la Présidente du CFEB, suite aux événements dans le Haut Karabagh, a été conviée à participer à un mouvement de soutien à la protection du patrimoine arménien et, notamment, à l’inscription du monastère de Dadivank dans le programme des patrimoines les plus en danger (Europa Nostra). Les délais de réponse étaient si brefs (quelques heures) que la Présidente a pris sur elle de s’exprimer en faveur de cette demande au nom de notre Comité. C’est peu de dire que, depuis une décennie en particulier, le patrimoine byzantin, post-byzantin et plus généralement oriental est mis à mal par les conflits, parfois aux portes de l’Europe. L’engagement de tous pour sa préservation est une nécessité. Cela passe par des interventions, souvent à l’échelle internationale, pour réclamer sa protection ; cela passe aussi par des mesures de préservation ou de sauvetage d’urgence, comme on l’a vu avec les icônes rapatriées de Kiev au Louvre et exposées depuis juin 2023 ; cela passe enfin par une concertation pluridisciplinaire entre spécialiste de la conservation, de la restauration et milieux académiques, laquelle peut être portée par les Sociétés savantes et les communautés scientifiques.
C’est dans cette perspective qu’Annick Peters-Custot a proposé à Antonio Rigo, juste après son élection comme Président de l’Association internationale des études byzantines (AIEB), de réfléchir à la création d’une Commission Patrimoine au sein de l’AIEB, proposition rapidement agréée et confiée à Maximilien Durand et Jannic Durand, le projet devant être présenté à l’Assemblée inter-congrès d’Athènes qui se tiendra à la mi-avril 2024.
Invité à prendre la parole, Jannic Durand rappelle l’histoire de cette initiative française (Catherine Jolivet-Lévy et Vincent Déroche, vers lesquels il se tourne, avaient accompagné ce projet dès le congrès de Belgrade). Maximilien Durand note le lien entre la création de cette commission et celle du nouveau département des Arts de Byzance et des Chrétientés en Orient, département voulu dès 2021 par la présidente du Louvre avant même sa nomination, mais dont l’actualité, celle des guerres en Ukraine ou entre Israël et Gaza, rappelle la nécessité. La Présidente indique encore, pour en rester aux nouvelles concernant l’AIEB, qu’une nouvelle « Commission diplomatique » sera présentée à Athènes par Giuseppe De Grigorio, dont le texte de fondation a été sujet à une concertation internationale. Plusieurs collègues, y compris du CFEB, y ont contribué. Béatrice Caseau précise qu’une « Commission médecine byzantine » verra aussi le jour. Par ailleurs, il y a des changements notables au sein de la « Commission développement », celle qui est chargée notamment de la Newsletter internationale. Le responsable de cette « Commission développement », Sergei Mariev, a démissionné assez vivement. C’est Johannes Preiser-Kapeller qui a repris le flambeau, à la fois de la « Commission développement » et de la Newsletter, en décembre 2023. Depuis, une Newsletter a déjà paru. Annick Peters-Custot n’est plus co-directrice de rédaction comme auparavant, s’étant désistée au profit de membres plus actifs. Un des enjeux de cette Commission concerne la refonte du site internet de l’AIEB, dont le caractère dépassé peut être facilement constaté, avec un manque de mise à jour depuis 3 ans.
Il est temps de saluer l’activité du Bureau dans tous les aspects de la « vie quotidienne » de notre communauté : les annonces, la mise à jour des thèses en cours, le site internet du CFEB plus généralement (nous y reviendrons ultérieurement), mais aussi dans la dynamique de recrutement de nouveaux membres. Si sont en ce jour présentées 11 candidatures, c’est l’effet d’une méthode notablement plus proactive que précédemment. En effet, jusqu’à présent et traditionnellement, le bureau du CFEB comptait sur le relai des directeurs de recherche pour relayer la proposition de rallier nos rangs. Cette année, nous avons sollicité celles et ceux qui, jeunes docteurs ou chercheurs plus confirmés, n’avaient jamais été conviés à nous rejoindre. Ce fut beaucoup de travail, mais le résultat est là, qui nous permettra de renouveler notre communauté (et, on l’espère, de garnir nos caisses par les cotisations). On ne peut que se réjouir de ce résultat et remercier tous ceux qui ont fourni des lettres de recommandation dans un délai bref, ce qui a permis que les candidatures, commodément regroupées, circulent bien avant la tenue de l’AG, ce qui était du reste une demande de notre précédente assemblée.
Enfin, couronnement de notre année, la belle visite privée et commentée que Jannic Durand a offerte à nos collègues de l’exposition « Trésors de Notre-Dame » au Louvre le mardi 23 janvier 2024. On lui renouvelle les remerciements les plus chaleureux (applaudissements nourris).
3. Rapport de la trésorière et quitus
On se reportera au document joint élaboré par Marie-Hélène Blanchet, notre Trésorière. La bureaucratie bancaire de la Banque postale a entraîné un délai de six mois pour obtenir les codes internet et le fonctionnement du compte en ligne. Les cotisations sont rentrées cette année de manière satisfaisante (81 cotisations) et l’inflation a eu pour corollaire la montée des taux d’intérêt et l’augmentation de de nos produits financiers. Il y a eu peu de faits saillants, sinon la légère augmentation envisagée de la subvention à l’Association des étudiants du monde byzantin. Béatrice Caseau demande la justification de notre cotisation à l’association Antiquité Avenir et demande s’il est bon que nous continuions à la financer. Vincent Puech explique la raison d’être de ce regroupement d’associations. On décide de se renseigner sur l’utilité de notre participation au fonctionnement de cette association. Les comptes sont approuvés et le quitus donné à la Trésorière à l’unanimité.
4. Élection de nouveaux membres
11 nouveaux membres sont présentés aux suffrages de l’Assemblée générale : Barone, Francesca ; Cantet, Benoît ; Chensova, Vera ; Cheny, Anne-Marie ; Croq, Alice ; Dorandeu, Guilhem ; Dumont, Bastien ; Goudjil, Romain ; Schneider, Jean ; Verdure, Marc ; Voisin, Ludivine. Les dossiers avaient été envoyés à l’avance à l’ensemble des membres, comme il vient d’être dit, ce pour quoi nous ne les présentons pas en détail. Nous n’avons pu tenir compte pour 2024 d’une candidature qui n’est arrivée complète que la veille de notre Assemblée générale, mais qui sera considérée avec bienveillance à la prochaine assemblée.
Sipana Tchakerian procède au dépouillement. Les 11 nouveaux membres sont élus à l’unanimité des votants. Entrent ensuite dans la salle et rejoignent alors notre assemblée quelques-uns de ces nouveaux membres : Benoît Cantet, Bastien Dumont, Romain Goudjil, Jean Schneider, Marc Verdure, et un peu plus tard Anne-Marie Cheny.
5. Budget et fixation de la cotisation annuelle
Marie-Hélène Blanchet, notre Trésorière, présente le budget pour l’année 2024. Comme d’habitude, il faut mettre de côté le fonds Zacos (1 776,31 €) pour le financement de travaux sigillographiques (Jean-Claude Cheynet intervient pour indiquer le transfert prochain de ce montant à l’éditeur ACHCByz) et le fonds du Labex RESMED destiné à la publication d’un ouvrage de Ioanna Rapti (4 000 €). On se référera au document joint. L’année 2024 présente pour seul changement la participation aux frais de la réunion de l’inter-congrès de l’AIEB qui aura lieu à Athènes en avril 2024. On évoque le rappel de cotisation auquel on accepterait de réintégrer les non-cotisants. L’Assemblée accepte à l’unanimité, moins 3 votes contre, d’intégrer les membres n’ayant pas payé depuis plusieurs années pour une somme forfaitaire de deux ans de cotisation, soit l’année en cours et une année antérieure (au tarif actuel s’entend).
6. Site internet et communication externe du CFEB
Le Secrétaire Olivier Delouis relève les développements du site cfeb.org depuis l’Assemblée de l’an dernier et remercie d’abord les membres pour la mise à jour de la liste de leurs doctorants. Les revues et collections byzantines françaises animées par des membres du CFEB sont maintenant présentées sur le site. Les monographies et recueils d’articles sont susceptibles de recevoir une diffusion par un courriel envoyé aux membres, mais ne sont pas affichés. Les courriers circulaires du secrétariat sont désormais envoyés par une plateforme professionnelle du nom de « Brevo » (gratuite) ; sauf de très rares exceptions, ces messages parviennent à nos membres sans être considérés comme des messages indésirables. Les bibliothèques et centres documentaires ont également leur onglet dédié. Les contenus des pages individuelles sont du ressort des membres : on peut communiquer les renvois vers les pages personnelles en ligne, l’important étant que le statut de membre du CFEB soit connu et qu’on puisse y trouver quelque information. La communication externe doit aussi retenir notre attention : on propose durant l’année à venir de développer une page LinkedIn pour le CFEB, sans se disperser sur d’autres médias. Enfin, un projet demeure, celui de présenter les formations ou les stages de formation des universités françaises et organismes de recherche.
D’autres contacts sont évoqués et proposés : la page Facebook de la Société d’études syriaques (Muriel Debié), le Réseau des médiévistes belges de langue française (Annick Peters-Custot), la Société des historiens médiévistes de l’enseignement supérieur public (Olivier Delouis), le Comité des travaux historiques et scientifiques (Élisabeth Malamut), sont autant de possibles inspirations, proches ou lointaines.
À cette occasion, et avant les questions diverses, Georges Sidéris s’alarme de l’absence de Byzance dans les programmes de concours depuis 15 ans. Jean-Claude Cheynet rappelle le nécessaire engagement des enseignants-chercheurs pour obtenir le placement d’un sujet aux concours. La question des réformes des concours dépasse largement les enjeux du CFEB, mais Georges Sidéris souligne néanmoins l’enjeu de la répartition entre modules professionnalisants et disciplinaires dans la réforme à venir. Michel Kaplan demande que les enseignants-chercheurs se mobilisent pour candidater au CNU, et Jean-Claude Cheynet au Comité national du CNRS (CoNRS).
7. Informations sur le prochain Congrès de l’AIEB à Vienne (2026)
Traditionnellement, il y aura au congrès de Vienne des sessions plénières (déjà sélectionnées), des tables rondes (de 90 mn et 6 participants au plus), et des communications libres. Le Secrétaire a communiqué au comité autrichien en décembre 2023 les dix propositions jointes en annexe à ce compte rendu. Le choix viennois sera communiqué peu avant la réunion d’inter-congrès qui aura lieu le 13 avril 2024 à Athènes. L’appel pour les communications libres ne sera pas envoyé avant le printemps 2025. On relève les quelques noms de membres du CFEB co-porteurs ou co-porteuses de tables rondes passées par d’autres comités nationaux (notamment Jean-Claude Cheynet / Autriche, Olivier Delouis / Allemagne, Arietta Papaconstantinou / Italie, Brigitte Pitarakis / Turquie). Le compte rendu de l’Assemblée inter-congrès sera communiqué ultérieurement et fournira davantage de détails, en donnant notamment les listes de l’ensemble des tables rondes de l’ensemble des comités nationaux membres de l’AIEB.
8. Questions diverses
8.1. Une question importante est ensuite posée à l’Assemblée par le Bureau du CFEB : la France doit-elle présenter sa candidature pour l’organisation du Congrès international des études byzantines en 2031 ? Une discussion informelle s’engage, où les souvenirs du congrès de Paris de 2001 (notamment portés par Michel Kaplan et Jean-Claude Cheynet), les enjeux de l’ouverture d’un nouveau département des Arts de Byzance et des chrétientés d’Orient au Louvre en 2027, le centenaire de la grande exposition internationale byzantine à Paris en 1931 (Jannic Durand, Maximilien Durand) sont versés au débat. Muriel Debié indique que le CNRS s’est doté d’outils importants pour la gestion de tels événements. À ce jour de l’Assemblée, selon Béatrice Caseau et Annick Peters-Custot, les autres candidatures connues pour 2031 sont Chypre et Budapest. D’autres informations seront communiquées après l’inter-congrès de Vienne. L’Assemblée générale exprime dans un vote prononcé à une belle unanimité « un avis positif en vue d’une éventuelle candidature de la France pour le 26e Congrès d’études byzantines en 2031 ».
8.2. Vincent Puech propose ensuite à l’Assemblée générale du CFEB de soumettre au vote la motion suivante qu’il présente en son nom propre (et non comme Trésorier-adjoint du CFEB) :
« Le CFEB demande aux candidats à un poste de professeur des universités de soutenir une Habilitation à Diriger des Recherches ou à défaut d’avoir publié une monographie personnelle autre que leur thèse de doctorat. »
La discussion comprend des interventions de Georges Sidéris (exprimant notamment la position de son syndicat FO), Muriel Debié (sur la question des projets ERC compris par certaines institutions comme validant l’accès à des postes de professeur ou de directeur de recherche), Michel Kaplan (sur le statut des professeurs des universités et leur indépendance, car nommés par le président de la République, sur le CNU, etc.) ou Olivier Delouis (sur le décret de 1984 sur les carrières faites à l’étranger). Vincent Puech précise sa démarche en soulignant le caractère principalement déontologique de la motion. Vote : 27 abstentions, 7 contre, 4 pour (avec procurations).
Après 2h30 de réunion, et l’ordre du jour étant épuisé, l’Assemblée byzantine se déplace en salle d’égyptologie pour un pot confraternel.
À Oxford, ce 16 avril 2024,
Olivier Delouis
Secrétaire du CFEB